Raspberry Pi : Installation Archlinux sur carte SD 16GO


Installation d’Archlinux sur Carte SD 16 Go pour un Raspberry Pi Modèle B.

Télechargement de la derniere version de archlinux ARM, sur le site de Raspberry Pi : http://www.raspberrypi.org/downloads

Actuellement la dernière version est celle datant du 18 Septembre 2012 :

$ wget http://files.velocix.com/c1410/images/archlinuxarm/archlinux-hf-2012-09-18/archlinux-hf-2012-09-18.zip

On vérifie l’intégrité (toujours utile) :

$ sha1sum archlinux-hf-2012-09-18.zip
56e043f3c629f6c408759bcc157d2d635ce0b6af  archlinux-hf-2012-09-18.zip

On extrait notre archive zip :

 unzip archlinux-hf-2012-09-18.zip

On met en place notre Carte SD, pour connaitre quel périphérique est utilisé on fait un petit « dmesg »

$ dmesg
...(extrait)...
[ 6685.088186] scsi 7:0:0:0: Direct-Access     Multiple Card  Reader     1.00 PQ: 0 ANSI: 0
[ 6685.826912] sd 7:0:0:0: [sdb] 31504384 512-byte logical blocks: (16.1 GB/15.0 GiB)
[ 6685.828905] sd 7:0:0:0: [sdb] Write Protect is off
[ 6685.828911] sd 7:0:0:0: [sdb] Mode Sense: 03 00 00 00
[ 6685.830904] sd 7:0:0:0: [sdb] No Caching mode page present
[ 6685.830910] sd 7:0:0:0: [sdb] Assuming drive cache: write through
[ 6685.836904] sd 7:0:0:0: [sdb] No Caching mode page present
[ 6685.836910] sd 7:0:0:0: [sdb] Assuming drive cache: write through
[ 6685.838290]  sdb: sdb1 sdb2
[ 6685.843910] sd 7:0:0:0: [sdb] No Caching mode page present
[ 6685.843917] sd 7:0:0:0: [sdb] Assuming drive cache: write through
[ 6685.843921] sd 7:0:0:0: [sdb] Attached SCSI removable disk

on voit que notre carte SD correspond, au device /dev/sdb

On pose notre systeme :

$ sudo dd if=archlinux-hf-2012-09-18.img of=/dev/sdb bs=1M
1886+0 records in
1886+0 records out
1977614336 bytes (2.0 GB) copied, 168.367 s, 11.7 MB/s

On place notre carte dans le raspberry, on branche écran hdmi/clavier usb OU le cable ethernet, on boot et on peut se connecter en ssh sur notre raspberry 😉 (root/root)
Pour connaître notre ip, si on a pas d’écran HDMI (ou d’apdateur HDMI, VGA/DVI) : nmap -sn 192.168.1.0/24

$ nmap 192.168.1.0/24
 
Nmap scan report for 192.168.1.16
Host is up (0.040s latency).
Not shown: 999 closed ports
PORT   STATE SERVICE
22/tcp open  ssh

On se connecte :

ssh root@192.168.1.16

Maintenant, on partitionne les 16 GO sur la Carte SD

# fdisk /dev/mmcblk0

On regarde les partitions avec la commande p :

Command (m for help): p
Disk /dev/mmcblk0: 16.1 GB, 16130244608 bytes
4 heads, 16 sectors/track, 492256 cylinders, total 31504384 sectors
Units = sectors of 1 * 512 = 512 bytes
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disk identifier: 0x000c21e5
 
        Device Boot      Start         End      Blocks   Id  System
/dev/mmcblk0p1   *        2048      194559       96256    c  W95 FAT32 (LBA)
/dev/mmcblk0p2          194560     3862527     1833984   83  Linux

On supprime la partition 2 afin de la refaire pour nos 16GO, il est possible si vous le désirez de partionner d’une autre manière mais cela reste le même principe

Command (m for help): d  
Partition number (1-4): 2
Partition 2 is deleted

On peut vérifier le résultat :

Command (m for help): p  
Disk /dev/mmcblk0: 16.1 GB, 16130244608 bytes
4 heads, 16 sectors/track, 492256 cylinders, total 31504384 sectors
Units = sectors of 1 * 512 = 512 bytes
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disk identifier: 0x000c21e5
 
        Device Boot      Start         End      Blocks   Id  System
/dev/mmcblk0p1   *        2048      194559       96256    c  W95 FAT32 (LBA)

On crée une nouvelle partition avec les mêmes infos seul le last sector change.

Command (m for help): n
Partition type:
   p   primary (1 primary, 0 extended, 3 free)
   e   extended
Select (default p): p
Partition number (1-4, default 2): 2
First sector (194560-31504383, default 194560): 
Using default value 194560
Last sector, +sectors or +size{K,M,G} (194560-31504383, default 31504383): 
Using default value 31504383
Partition 2 of type Linux and of size 15 GiB is set

On enregistre avec la commande w

Command (m for help): w
The partition table has been altered!
 
Calling ioctl() to re-read partition table.
 
WARNING: Re-reading the partition table failed with error 16: Device or resource busy.
The kernel still uses the old table. The new table will be used at
the next reboot or after you run partprobe(8) or kpartx(8)
Syncing disks.

On redémarre.

Le travail n’est pas terminé, il faut l’appliquer pour le filesystem.

Pour cela on resize, c’est assez long.

# resize2fs /dev/mmcblk0p2 
resize2fs 1.42.5 (29-Jul-2012)
Filesystem at /dev/mmcblk0p2 is mounted on /; on-line resizing required
old_desc_blocks = 1, new_desc_blocks = 1
Performing an on-line resize of /dev/mmcblk0p2 to 3913728 (4k) blocks.

Et après, c’est terminé ! On reboot notre système et voila 🙂

Après un petit redémarrage on peut faire les mises à jour, ainsi que changer le nom de la machine.

Pour les mises à jour :

# pacman -Suy

On modifie notre nom de machine.

vi /etc/hostname

Et si vous désirez installer des packages qui ne sont pas présents dans le mirror list pour ARM mais présent sur les dépôts pour x86 et x86_64 :
On récupère un package, on modifie son PKGBUILD de manière à remplacer les architectures existantes par la notre : uname -m
Et après c’est la routine : makepkg –asroot PKGBUILD et voilà
Après on installe notre archive. Dans mon cas, cela a été nécessaire lors de l’installation du package dsniff.

It’s OverSimple, isn’t it ?

Halloween tricks

 

 

 

Il faut dire qu’on aime la citrouille. Et puis on vient de recevoir nos raspeberry pi.  En y regardant de plus prêt, on se rend rapidement compte qu’il faut faire quelque chose pour Halloween.

L’idée originale est donc de faire une lampe en citrouille qui s’active par la présence.

Prise en main du Raspberry pi

La première chose à faire est de voir si tout fonctionne. On va utiliser un Debian embarqué tel qu’il est proposé sur le site du raspberry pi. Pour notre projet, nous avons besoin d’allumer une lampe.
Les GPIO sont des broches d’entrée sortie dont on peut lire le niveau électrique (haut ou bas) et sur lequel on peut imposer un niveau de sortie (haut ou bas). Le niveau logique haut est une tension de 3.3V et le bas une tension de 0V.

Le mappage des GPIO est indiqué sur l’image suivante. Remarquez le petit p1 sur votre board et sur le schéma qui permettent de s’orienter.

Nous allons nous en servir en sortie pour activer une led dans un premier temps. Voici une photographie du montage :


Pour ce faire il faut définir la GPIO et indiquer le mode output :

echo "17" > /sys/class/gpio/export
echo "out" > /sys/class/gpio/gpio17/direction

Pour information: les GPIO fonctionnent sur les microcontroleurs (comme l’ARM du Raspberry pi) en three-state logic : Wikipédia

Il suffit maintenant de mettre à l’état haut le GPIO associé avec la commande suivante :

echo "1" > /sys/class/gpio/gpio17/value

Pour le mettre à l’état bas, mettre la valeur 0.

Pour le détecteur de mouvement en pratique il aurait été bon de prendre un détecteur infrarouge. Mais bien que terriblement efficace ce n’est pas aussi amusant que d’utiliser une webcam et de faire un peu de traitement d’image.

Conception du détecteur de mouvement

En ce qui concerne le détecteur de mouvement, nous avons utilisé une webcam ainsi que la librairie OpenCV. Voici un extrait de notre main simplifié :

int main(int argc, char **argv) {
 
	// Initialisation de notre lampe qui se trouve connecté au gpio 17
	// (voir ci-dessus)
 
	// Image
	IplImage *image1=NULL;
	IplImage *image2=NULL;
	IplImage *subImage=NULL;
 
	// Capture vidéo
	CvCapture *capture;
 
	// Ouvrir le flux vidéo,  mettre en paramètre le device de la cam (pour X = /dev/videoX)
	capture = cvCreateCameraCapture(atoi(argv[1]));
 
	//Configuration de la capture par défaut, donc la taille d'une image que l'on va récupérer. 640*480
	cvSetCaptureProperty(capture, CV_CAP_PROP_FRAME_WIDTH, 640);
	cvSetCaptureProperty(capture, CV_CAP_PROP_FRAME_HEIGHT, 480);
	cvSetCaptureProperty(capture, CV_CAP_PROP_BRIGHTNESS, 0.65);
 
	// Vérifier si l'ouverture du flux est ok
	if (!capture) {
		printf("Ouverture du flux vidéo impossible !\n");
		return 1;
	}
 
	printf("Enjoy !");
 
	// On allume notre lampe 2 fois avec une pause de 1 seconde 
 
	while(1) {
		// On récupère une image 
		image1 = cvQueryFrame(capture);
 
		// On attend 50 milisecondes
		cvWaitKey(50);
 
		// On sauvegarde notre image 1.
		cvSaveImage("buffer1.jpg",image1,0);
 
		// On récupère une image 2
		image2 = cvQueryFrame(capture);
 
		// On sauvegarde notre image 2
		cvSaveImage("buffer2.jpg",image2,0);
 
		// On recherche les 2 images
		image1 = cvLoadImage("buffer1.jpg", CV_LOAD_IMAGE_GRAYSCALE);
		image2 = cvLoadImage("buffer2.jpg", CV_LOAD_IMAGE_GRAYSCALE);
 
		// On soustrait les 2 images une à une afin d'avoir une différence.
		subImage = substract(image1, image2);
 
		// On calcul le nombre de pixel différents
		int trigger = count(subImage);
 
		// On compare la différence avec notre TRIGGER de test.
		if(trigger > TRIGGER) {	
			// Si plus de pixel modifié par rapport a notre TRIGGER, 
			// On allume la lampe pendant 10 secondes
		}
	}
 
	// On Libère notre webcam.
	cvReleaseCapture(&capture);
 
	return 0;
}

L’ensemble du code est présent en archive.

Assemblage

Une fois le programme lancé, on lui a apporté quelques modifications afin de changer l’état d’un GPIO en 5V. Pour allumer notre lampe allimentée sur le secteur nous utiliserons un relais activable en 5V.
Cependant, les GPIO du raspberry pi ne peuvent fournir que 3.3V. Pour pouvoir activer notre relais il faut amplifier le signal. Pour cela nous avons utilisé la sortie 5V du raspberry pi et un ampli audio (LM386) avec un montage non inverseur.

L’ensemble des pièces aillant été récupéré ici et là. Ci-dessous le schéma du montage :

Résultat final


OVERSIMPLE : Halloween détecteur de mouvement par oversimple

Source

Site officiel d’OpenCV

GPIO Raspberry Pi

Codes : complete source code
It’s Oversimple isn’t it?

Halloween Tricks [English Version]

 

 

 

We like pumpkin and for halloween we decide to create with our raspberry pi a motion sensor.

How it’s works ?

The idea is simple, when somebody is in the piece, the lamp is putted on.

Discover Raspberry pi

First step, we install a debian on ourraspberry pi.

Second step, we need to start a lamp with the gpio of the raspberry pi.
GPIO are input output spindle, we can have a high voltage (3.3 V) or low voltage ( 0V ).

We can see on the following picture, how to are the GPIO dispatched.

The first thing we do was to put on a LED. This was done by simply connecting a LED to the GPIO 17 and a resistor in serie.


We define the gpio 17 and we use this as an output :

echo "17" /sys/class/gpio/export
echo "out" /sys/class/gpio/gpio17/direction

And to enable the led, we put the voltage high :

echo "1" /sys/class/gpio/gpio17/value

Note : to put off the led we simply replace « 1 » by « 0 »

Create a motion sensor with a webcam

In practice, we could use a infrared motion sensor. However we only  have a webcam, and it’s more challenging with a webcam.

The code is available in the archive.

int main(int argc, char **argv) {
 
	// Initialization GPIO 17
 
	// Image
	IplImage *image1=NULL;
	IplImage *image2=NULL;
	IplImage *subImage=NULL;
 
	// Capture movie
	CvCapture *capture;
 
	// Open the webcam with the number of the device (/dev/videoX for X the number)
	capture = cvCreateCameraCapture(atoi(argv[1]));
 
	//Configure the resolution for the webcam
	cvSetCaptureProperty(capture, CV_CAP_PROP_FRAME_WIDTH, 640);
	cvSetCaptureProperty(capture, CV_CAP_PROP_FRAME_HEIGHT, 480);
	cvSetCaptureProperty(capture, CV_CAP_PROP_BRIGHTNESS, 0.65);
 
	// Check if capture is ok
	if (!capture) {
		printf("Ouverture du flux vidéo impossible !\n");
		return 1;
	}
 
	printf("Enjoy !");
 
	// We start our lamp 2 time for check and give the signal
 
	while(1) {
		// Screen first picture
		image1 = cvQueryFrame(capture);
 
		// Waiting 50 milisecondes
		cvWaitKey(50);
 
		// Save image 1
		cvSaveImage("buffer1.jpg",image1,0);
 
		// Screen second picture
		image2 = cvQueryFrame(capture);
 
		// Save image2
		cvSaveImage("buffer2.jpg",image2,0);
 
		// We save both picture
		image1 = cvLoadImage("buffer1.jpg", CV_LOAD_IMAGE_GRAYSCALE);
		image2 = cvLoadImage("buffer2.jpg", CV_LOAD_IMAGE_GRAYSCALE);
 
		// We substract image1 and image2
		subImage = substract(image1, image2);
 
		// We count the number pixel difference of the image 1 and image 2.
		int trigger = count(subImage);
 
		// We compare with our TRIGGER, if we detect mouvement
		if(trigger > TRIGGER) {	
			// if more pixel modify we start the lamp
		}
	}
 
	// Free capture
	cvReleaseCapture(&capture);
 
	return 0;
}

Assembly

Ok, now the program works but we have a problem with GPIO . to put on our lamp we need 5V. For this reason we use a relay in 5V.

However, the raspberry pi ‘GPIO can only provide 3.3V. We need to amplify the signal.

We use the output 5V of the raspberry and an audio amplify (LM386) in non inverting scheme.

We can see the assembly :

Final result


OVERSIMPLE : Halloween détecteur de mouvement par oversimple

Source

Site officiel d’OpenCV

GPIO Raspberry Pi

Codes : complete source code

It’s Oversimple isn’t it?

Interroger une carte à puce avec Java et un lecteur PC/SC

Utiliser la librairie smartcardio de java

La librairie smartcardio permet de comuniquer entre un lecteur pcsc et une application java.
Ceci peut ouvrir la voie à des applications sécurisées par carte à puce. Les cartes à puce permettent de stocker des clés cryptographiques de manière sûre.

Pour l’installation des drivers PC/SC direction cet article : http://oversimple.fr/espionner-une-transaction-avec-carte-a-puce/

Utilisation de la librairie dans eclipse

De base la librairie n’est pas accessible. Pour contourner ce problème, copier le code ci dessous dans une classe java :

/**
 * @param args
 */
public static void main(String[] args) {
	try {
		/* Affiche la liste des lecteurs PCSC */
		TerminalFactory factory = TerminalFactory.getDefault();
		List terminals = factory.terminals().list();
		System.out.println("Terminals: " + terminals);
 
		/* Selectionne le premier lecteur */
		CardTerminal terminal = terminals.get(0);
 
		/* Etablit la connection avec la carte */
		Card card = terminal.connect("*"); 
		/* '*' Laisse le programme choisir le mode de communication */
		System.out.println("card: " + card);
		CardChannel channel = card.getBasicChannel();
 
		// disconnect
		card.disconnect(false);
	} catch (CardException e) {
		e.printStackTrace();
	}
}

Vous devriez avoir l’erreur suivante.

Pour y parer, suivez les étapes décrites ci dessous :

On supprime alors la librairie java.

It’s OverSimple isn’t it?

Synchronisation sur un protocole bas niveau

Nous sommes en mesure d’espionner les premières transactions. Il ne nous reste plus qu’à configurer l’affichage sur la dalle tactile. Cet article va présenter la façon dont nous avons choisi de nous synchroniser avec le signal que nous espionnons. Cette méthode peut être extrapolée à d’autres protocoles de communication.

Synchronisation entre l’espion, le terminal et la carte

Les communications avec cartes à contact suivent la norme iso7816. Les communications sont réalisées en passant, sur la ligne, un état haut ou un état bas. Ce niveau logique doit être appliqué pendant une certaine durée; la durée de transmission d’un caractère. Afin de faire simple, cette durée dépend de la fréquence d’horloge appliquée à la carte par le terminal.

On peut le définir tel que :

Tc = a*f 
où :
f est la fréquence
Tc est la durée d'un caractère
a est un facteur de proportionnalité

Le temps que dure un caractère peut changer durant la transmission mais il sera toujours fonction de la fréquence. Pour le modifier, la carte demande à ce que se soit la valeur de a qui évolue.

Une explication plus détaillée (et surtout plus juste) est faite dans la norme iso 7816 ou bien dans l’EMV book 1 téléchargeable sur le site d’EMVco : http://www.emvco.com/specifications.aspx?id=223

Trame observée

La première action consistait à visualiser le signal obtenu. Pour ce faire,  j’ai décortiqué la norme et pris un oscilloscope. Dans le cas étudié, la première chose transmise est un octet décrivant le codage des caractères (Big endian / Little endian). Il est transmis par la carte et ressemble à ceci :

On remarque alors qu’aux temps t1 et t2, nous avons, bien que le caractère soit différent, un front descendant. Ceci correspond, d’après la norme, à la transmission de trois bits. Nous allons donc nous synchroniser sur ces deux fronts descendants lancer un compteur de temps et diviser le résultat par trois afin d’obtenir la durée de transmission d’un bit.

Code

Nous codons ceci sur un micro-contrôleur pic32. Le modèle de notre PIC est le pic32mx795F512L.
Configuration de l’interruption qui doit se déclencher sur les fronts descendants:

 /* Configure the interupt on IO to answer on each falling edge*/
    ConfigINT2(EXT_INT_ENABLE | FALLING_EDGE_INT | EXT_INT_PRI_1);

Implémentation de l’interruption pour lancer le timer 1 lors du premier front descendant puis le couper lors du second.

unsigned int state = 0;
unsigned int bitDuration = 0;
 
/* INT2 ISR */
/* Interruption externe 2 */
void __ISR(_EXTERNAL_2_VECTOR, IPL1) _Int2Handler(void) {
 
    /* State = 0 il s'agit du premier front descendant */
    if(0 == state)
    {
        /* Configure le Timer1*/
        mT1ClearIntFlag();
        /*Lance le timer 1 */
        OpenTimer1(T1_ON | T1_SOURCE_INT | T1_PS_1_1, 64000);
        state = 1;
    }
    else if(1 == state)
    {
          ConfigIntTimer1(T1_INT_OFF);
          bitDuration = ReadTimer1()/3;
    }
    /*Efface le flag d'interruption*/
    mINT2ClearIntFlag();
}

bitDuration contient alors le nombre de coups de clock que l’on doit compter pour obtenir le temps de transmission d’un bit.

It’s OverSimple, isn’t it?

Et si on sauvegardait notre base de données ?

Avoir un site web c’est bien, mais en faire des sauvegardes ça peut toujours être utile. L’objectif de cet article est de vous montrer comment on sauvegarde notre base de données. Le principe de cette sauvegarde est simple. Ovh éxecute un script que l’on aura stocké sur notre espace personnel. Ce script sauvegardera notre base de données et on obtiendra un fichier SQL contenant notre BDD. Ensuite, un autre script, qui se trouve sur mon serveur personnel, se connectera afin d’aller chercher cette sauvegarde. Vous allez me dire, pourquoi c’est mon serveur qui se connecte au serveur Oversimple ? Tout simplement car je considère que mon serveur est « fiable » contrairement à un serveur mutualisé d’OVH.

Script PHP sur serveur OVH.

<?php
#php doit être supérieur à 5.1

$user="login";
$password="mot de passe";
$nom_de_la_base="baseName";
$serveur_sql="le serveur";
 
#Recupération de la date du jour : JJ-MM-AAAA 
$dateArchive =  date("d-m-Y");
 
#Sauvegarde de la base -> sortie vers un fichier sql -> overSimple-DD-MM-YYYY.sql
system("mysqldump --host=$serveur_sql --user=$user --password=$password $nom_de_la_base > overSimple-$dateArchive.sql");
 
#Récupération de la date a moins 28 jours afin de viser une ancienne archive
$newDate = strtotime('-28 day', strtotime ($dateArchive) );
$newDate = date('d-m-Y', $newDate);
 
#Verification si l'archive existe, on la supprime afin de ne pas en avoir de trop
if(file_exists("overSimple-$newDate.sql")){
	unlink("overSimple-$newDate.sql");
}
 
?>

Script Shell sur mon serveur personnel

#!/bin/sh
 
HOST='le ftp'
PORT='21'
USER='le login'
PASSWORD='un mot de passe ;)'
 
DATE=`date +%d-%m-%Y`
NAME_FILE=overSimple-$DATE.sql
 
#On va dans le repertoire de sauvegarde
cd `dirname $0`
ftp -n $HOST $PORT <<END
quote USER $USER
quote PASS $PASSWORD
cd sauvegarde/
get $NAME_FILE
quit
END
 
#On vérifie si on a télècharger le fichier.
if [ ! -f $NAME_FILE ]
then
    echo "Le fichier n'existe pas !, on le reprogramme pour dans 2 heures"
    echo sh $0 | at now + 2 hours
fi
 
exit

On plannifie l’execute sur OVH

Tous les lundis à 1h du matin. (Hébergement -> Planificateur de tâches)

On planifie sur le serveur

Pour cela rien de bien compliqué, une petite tache cron chaque lundi à 2h du matin (on a de la marge) :

$ crontab -e
00 02 * * 1 /home/overSimple/sauvegarde/sauvegarde.sh
 
On quitte (:wq) et on obtient :
crontab: installing new crontab

Et voilà, on obtient une petite sauvegarde hebdomadaire !